Après The Ephemeral life of an octopus, la chorégraphe Léa Tirabasso continue de puiser dans les états émotionnels et physiques une matière pour sa danse. Avec, en ligne de mire, des travaux scientifiques, philosophiques, ou des pratiques de corps très spécifiques comme le Animal work ou le Dark Clown, qui viennent nourrir le travail. Avec cinq danseurs, elle se plonge aujourd’hui dans l’effet de groupe, en sondant l’humanité nichée dans chaque individu. Tout à leur liberté, issue de l’enfance, les corps se laissent aller au mouvement dans une course aussi désespérée que vitale. Entre débordements, joie et folie, la crudité du geste vient pointer l’ombre de la mort qui rend si puissante l’existence, et, par extension, la danse.
Nathalie Yokel
relâche le 15 juillet, à 19h. Tél. : 04 90 82 33 12.
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