Soile Isokoski a une affinité profonde avec la musique de Richard Strauss ; maintes fois entendue dans les Quatre derniers lieder, elle est la Maréchale du Chevalier à la rose ce 18 mars au Théâtre des Champs-Élysées. Ce sont des pages plus rares qu’elle défend au Musée d’Orsay : les Trois chansons d’Ophélie où la folie s’insinue dans les mouvements de la voix. Ils sont entourés par deux grands cycles (L’Amour et la vie d’une femme de Schumann et l’Italienisches Liederbuch de Wolf) et côtoient les Quatre chansons de rêve du Finlandais Aulis Sallinen, tirées de son opéra Le Cavalier.
J.-G. Lebrun
Jeudi 20 mars à 20h. Tél. 01 53 63 04 63
L'univers de l'écrivain suisse est au centre [...]
Après Pénélope ô Pénélope, créée en 2008, [...]
Le chef états-unien dirige deux programmes à [...]