En musique, la rhapsodie est une forme qui se joue de la liberté tout en puisant dans des racines solides. François Verret l’imagine davantage démente, poussant la liberté dans des voies parfois incontrôlées. Du grand laboratoire nomade qui a commencé l’année dernière, le chorégraphe ressort une première proposition, où la mise en jeu des interprètes – comédiens, danseurs, musiciens – s’élabore avec des matériaux textuels, des images, des peintures, des photographies, des objets… Tous s’engagent dans un processus de remémoration, où le XXIème siècle interroge le XXème, par le biais de personnages laissés en jachère de mémoire et qui construisent un langage hors des accélérations du temps.
N. Yokel
à 20h30. Tél. : 01 48 70 48 90.
Le temps d'une tournée de concerts en église, [...]
Un ensemble entre musique classique et [...]
Conçu comme une sorte de cabinet des [...]