S’il a grandi aux flonflons de son père, amateur de musette, et aux bons vieux sons de sa tradition, dans la région de Tuléar, où l’accordéon revêt une connotation religieuse comme instrument de la transe, Régis Gizavo s’est depuis longtemps affranchi des codes pour conduire une carrière où la curiosité de l’autre rythme ses pas. C’est ainsi que la France le découvrit, avec I Muvrini et Les Têtes Brûlées, mais aussi Lenine et Boubacar Traoré. De multiples prises de participations qui ne doivent pas faire oublier sa singulière partition, dont il nous livre ce soir le dernier chapitre : « Ilakake ».
J.Denis
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