Entre deux représentations du Crépuscule des dieux – et avant la reprise de l’intégralité du Ring – Philippe Jordan quitte Wagner et la fosse de l’Opéra Bastille pour le plateau et deux programmes symphoniques avec chœur. Le 28 mai, il dirige l’Adagio, seul mouvement achevé de la Dixième Symphonie de Mahler, et la Treizième Symphonie « Babi Yar » de Chostakovitch, vaste polyptyque en cinq mouvements, avec basse (Alexandre Vinogradov) et chœur d’hommes, sur des poèmes d’Evgueni Evtouchenko, dont le premier, qui donne son titre à la symphonie, est une dénonciation de l’antisémitisme. Les 10 et 11 juin, le Requiem de Verdi avec une distribution verdienne de gala (Kristin Lewis, Violetta Urmana, Piotr Beczala et Ildar Abdrazakov).
J.-G. Lebrun
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