Impossible de circonscrire cette voix à une voie : cette chanteuse au timbre de sensuelle soprano s’est illustrée auprès d’Ariane Mnouchkine, lors de la création en 2004 de Gilgamesh, mais aussi du chorégraphe Bernardo Montet. Deux exemples parmi tant de collaborations qui permettent à Noma Omran d’enrichir sa palette artistique : si elle maîtrise l’art subtil du maqam, elle peut tout aussi bien interpréter l’opéra baroque, voire se lancer dans le rock. Ou comme ce soir, en revenir aux sons des origines, la poésie soufie. « Une fontaine dont jaillit l’eau de notre passé, de notre présent et de notre futur. »
J.Denis
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