Certains de ces talents sont déjà venus à la Manufacture. Révélation du festival l’année dernière avec son Signal du promeneur, David Murgia est de retour pour une lecture traduite en direct d’Ascanio Celestini et de son théâtre-récit. L’IRMAR également, qui mène une conférence performative sur les droits et devoirs du spectateur. Mais aussi, dans ce programme éclectique de huit soirées, des belges, du rock, des oursons en gélatine, un work in progress sur l’école publique, un shot de danse participatif et le “joli collectif“ avec son joli travail sur Schimmelpfennig avec Vincent Collet à la mise en scène. A suivre en intégralité.
Eric Demey
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