De-ci de-là on s’est essayé en France à rendre une seconde jeunesse à Heinrich Schütz, qui fut dans le premier baroque allemand le représentant le plus tardif, donc le plus moderne. Déjà Les sept dernières paroles du Christ avaient rayonné à la faveur d’une poignée d’enregistrements parus chez Harmonia Mundi. Ce dimanche 25 mars, Les Cris de Paris ressuscitent de plus rares curiosités encore : aux italianisants motets pour la Passion succèdera en effet le Canticum Salomonis, corpus de pièces aux effectifs variés, basées sur l’admirable Cantique des Cantiques attribué au Roi Salomon. Comme toujours, c’est Geoffroy Jourdain qui officiera à ce déchaînement pascal. La route n’a pas forcément besoin d’être longue pour réjouir les Parisiens…
Julien Hanck
à 17 h. Tél. 01 46 97 98 10.
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