La découverte par Léon Tolstoï en 1887 de la célèbre Sonate opus 47 de Beethoven créée 84 ans plus tôt, dite « à Kreutzer » (en raison de sa dédicace au violoniste français Rodolphe Kreutzer), représente pour l’écrivain russe un véritable choc qui lui inspire aussitôt l’écriture d’un roman homonyme. Une œuvre fascinante et par certains aspects terrifiante – où s’exprime sa haine des femmes, du mariage, de la sexualité, de la famille… – dont s’empare lors de ce concert-lecture le grand comédien Michel Vuillermoz, sociétaire de la Comédie-Française. Il sera très bien entouré, de Nemanja Radulovic au violon et Laure Favre-Kahn au piano. Une matinée de dialogue entre musique et littérature.
Jean Lukas
à 11h. Tél. 01 49 52 50 50.
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