Qu’il joue Beethoven, Schumann, Schubert, Chopin, qu’il joue les compositeurs de la Seconde Ecole de Vienne, Debussy ou Salvatore Sciarrino, chaque fois c’est l’éblouissement d’un style formellement limpide et expressivement généreux. Avec les années, le pianiste, né en 1942, a certes un peu perdu de sa superbe technique pianistique qui le distinguait dans sa jeunesse, mais rien, bien au contraire, de la fulgurance de ses idées musicales, aujourd’hui sans doute plus prégnantes qu’elles pouvaient l’être dans les années 1980. Il faut aller l’écouter plus que jamais. Maurizio Pollini jouera, dans un programme annoncé tardivement, les Sonates n°30, op. 109, n°31 Op.110 et n°32 op.111 de Beethoven.
Alain Lompech
à 20h30. Places : 10 à 85 €. Tél. : 01 44 84 44 84.
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