Interprète du grand répertoire pianistique, créateur d’œuvres nouvelles : cela ne fait pas grande différence pour le pianiste italien, qui met la même exigence dans ces deux activités. Côté répertoire, voici les ultimes sonates de Beethoven, voies ouvertes au-delà des formes classiques ; côté création, après Lachenmann en janvier, Maurizio Pollini présente l’œuvre d’un autre important penseur du langage musical actuel. Mais pour ces trois pièces du cycle Carnaval de Salvatore Sciarrino (né en 1947) en création française, c’est son fils, Daniele Pollini, qui officiera, accompagné par l’ensemble Klangforum Wien et les Neue Vocalsolisten Stuttgart.
J.-G. Lebrun
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