Sous le joli titre Les Démons familiers, Mathias Lévy cultive un univers musical aux nombreuses références — à l’image de son instrument nomade — empruntant ses couleurs et ses rythmes à différents mondes, suivant le cours d’une écriture dense et nerveuse, tant sur le plan rythmique que mélodique. Le jazz est, selon ses mots, « un passeport universel » qui lui permet d’élaborer une musique très personnelle, aux accents baroques comme tziganes, rock comme orientaux, qu’il transpose sur scène en quartet, accompagné par le brillant pianiste Thomas Enhco.
Vincent Bessières
à 20h30. www.cdbm.org
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