La complicité de Claudio Abbado et de Martha Argerich est l’une des belles histoires de l’interprétation musicale du dernier demi-siècle. C’est avec le chef italien que la pianiste argentine faisait, en 1967, ses débuts discographiques en concerto pour Deutsche Grammophon. Les deux artistes se sont régulièrement retrouvés, au gré des postes occupés par le maestro, à Londres, à Berlin et plus récemment en tournée avec le Mahler Chamber Orchestra, qu’il a fondé en 1997 comme une alternative aux grandes institutions symphoniques. C’est donc avec le MCO qu’il accueille Martha Argerich pour le Premier Concerto de Beethoven. Claudio Abbado dirige ensuite la Symphonie « écossaise » de Mendelssohn, qui depuis longtemps accompagne Beethoven ou Mahler au panthéon du chef d’orchestre.
J.-G. Lebrun
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