Comme ses confrères venus du baroque, c’est fort de sa fréquentation des instruments anciens que John Eliot Gardiner revisite le grand répertoire avec les orchestres symphoniques « généralistes », et singulièrement avec le LSO. Le chef britannique, fondateur des English Baroque Soloists, fut d’ailleurs l’un des premiers à comprendre la nécessité d’appliquer une telle démarche au répertoire romantique, créant pour cela l’Orchestre révolutionnaire et romantique (en français dans le texte). Il retrouve ici Maria João Pires, artiste d’une probité exemplaire, toujours à l’écoute de l’évolution des styles d’interprétation.
J.-G. Lebrun
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