La bonté du Prince Mychkine est telle qu’on la prend souvent pour de l’idiotie. De retour de Suisse, dans la bonne société russe qui le surnommera vite l’idiot, ce jeune homme épileptique tente de sauver d’elle-même cette société décadente qui l’emportera dans sa chute. Laurence Andreini a demandé à Sergueï Vladimirov, collaborateur d’Anatoli Vassiliev, une nouvelle traduction du roman de Dostoïevski. De son adaptation naît une partition pour six acteurs où l’action avance par sauts, sur un mode cinématographique, pour relater cette tentative désespérée de sauver le monde et les hommes.
Eric Demey
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