Un canapé vert, un buffet style élisabéthain de chez Conforama, des feuilletons télévisés qui font office de méthode Assimil, une vision particulière des théories de Françoise Dolto… Dans Le Jour où ma mère a rencontré John Wayne, Rachid Bouali multiplie les zooms et les travellings, bouscule les plans, croise les époques et les décors pour dérouler sous nos yeux le monde de sa mère. « Tous les matins, ma mère me racontait ses rêves, explique l’auteur-comédien. Ses récits étaient un savant mélange entre sa Kabylie natale et sa condition de femme de ménage, le tout servi par les acteurs américains du feuilleton qu’elle avait vu la veille à la télé. J’étais face à elle comme devant un écran de la Métro Goldwyn Meyer…» Véritable épopée de la quotidienneté, le solo de Rachid Bouali est un hommage rendu à toutes les mères. Un hommage qui veut nous raconter « avec humour, poésie et émotion, une histoire aussi intime qu’universelle ».
Manuel Piolat Soleymat
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