Son dernier disque « Come A Little Closer » est né d’une rupture. Et il en porte les stigmates. Intimiste et écorché, il présente Laika sous un jour inédit. Arrangé par l’immense Gil Goldstein (qui a travaillé avec Gil Evans, Pat Metheny, Michael Brecker…), l’opus rassemble un florilège de vibrantes chansons méconnues du Great American Songbook, tel le sublime « When Love Was You and Me » d’Abbey Lincoln. La preuve, une fois encore, que Laika est une voix à part de la scène jazz contemporaine.
M. Durand
Récital Brahms dans un palace parisien.
Entre théâtre sonique, opéra post-moderne et [...]
À travers hold-up et règlements de compte, [...]