Chaque concert du duo formé par Martha Argerich et Gidon Kremer est particulièrement attendu, tant leurs performances communes sont rares. L’alchimie entre le violoniste letton et la pianiste argentine s’explique peut-être par l’exigence, la passion, l’engagement qu’ils ont en commun. Pour ce nouveau programme parisien, ils interprètent deux sonates pour violon et piano de Beethoven et exhument deux partitions de Mieczyslaw Weinberg, compositeur russe contemporain de Chostakovitch, qui revient de plus en plus au goût du jour.
A. Pecqueur
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