Londonienne expatriée à La Nouvelle-Orléans, Judith Owen a trouvé dans la ville berceau du jazz l’atmosphère et les musiciens idéaux pour concrétiser son désir de renouer avec l’esprit des grandes vocalistes du jazz des années 1940. Totalement rétro jusqu’à dans sa manière de cultiver un look à la Rita Hayworth (chevelure rousse flamboyante, gants passe-coudes), la vocaliste se révèle, dans ce registre balisé, tout à fait convaincante, dans le swing comme dans le charme. Entourée de ses Gentlemen Callers, qui maitrisent parfaitement leur sujet, mademoiselle chante le blues avec brio et humour, précision et distinction, et dispense le show qui va avec.
Vincent Bessières
Les 26000 couverts créent un opéra rock [...]
L’épatante São Paulo Dance Company revient en [...]
Pour les fêtes de fin d'année, l'Opéra de [...]