Hors Britten, dont on a fêté l’an dernier le centenaire de la naissance, la musique d’outre-Manche reste peu connue des mélomanes français. Un comble pour Frederick Delius (1862-1934), musicien francophile, amoureux de Paris, qui passa une grande partie de sa vie dans la vallée du Loing. L’excellent Jeffrey Tate, en parfait connaisseur, dirige ici son Concerto pour violon de 1916 avec Guy Braunstein (ex-soliste du Philharmonique de Berlin) : un bel exemple du style du compositeur, entre romantisme tardif et transparences debussystes. En ouverture, l’impressionnante Sinfonia da requiem de Britten ; en conclusion, la Troisième Symphonie de Brahms.
J.-G. Lebrun
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