Un sémite de Denis Guénoun (le 14 avril), Noces et L’été d’Albert Camus (le 12), interviews et écrits sur l’Algérie par Germaine Tillion (le 13), Le journal de Mouloud Feraoun (le 13) : les extraits choisis parmi ce corpus offrent la beauté de la langue et expriment un lien intime profond avec la terre et le peuple algériens. Un lien singulier pour chacun des auteurs – juif, pied-noir, français, arabe – qui se rejoignent dans leur amour pour l’Algérie, bientôt bouleversé par la guerre. Une cinquantaine d’années après l’Indépendance de l’Algérie, les lectures de ce corpus conçues par Sophie Lahayville réaffirment notre commune humanité, réaffirment aussi l’exigence de vérité qui taraude tout artiste et tout témoin. Des auteurs liés par une pensée en marche qui rend absurde toute dichotomie hâtive entre deux camps. Avec Sophie Lahayville et Stanislas Roquette.
Agnès Santi
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