L’idée initiale d’Annick Lefebvre, lorsqu’elle a écrit son premier J’accuse, était de décortiquer l’ADN du Québec en donnant la parole à des femmes. Après une version belge créée en 2017, c’est à présent sur la France que l’autrice porte son regard incisif en présentant cinq citoyennes françaises poussant un cri de révolte. « A travers ces cinq figures de femmes, déclare Sébastien Bournac, Annick Lefebvre nous fait découvrir cinq points de vue qui reflètent la diversité qui compose notre société. » Des points de vue qui « racontent nos vies, nos rires, nos espoirs, nos solitudes », poursuit le metteur en scène, « et s’élèvent contre les systèmes qui oppressent, les idées qui enferment, contre une spirale sociale qui avale tout. »
Manuel Piolat Soleymat
Spectacle présenté avec le Théâtre Sorano. Du mardi au vendredi à 20h, le samedi à 18h. Tél. : 05 34 45 05 05. Durée de la représentation : 1h50. www.theatre-cite.com
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