Alors qu’en 2006, le Polonais Krzysztof Warlikowski créait le scandale à l’Opéra de Paris avec sa vision d’Iphigénie en Tauride, prêtresse grecque devenue pensionnaire d’une maison de retraite hantée par son passé, sa mise en scène en est aujourd’hui à sa quatrième distribution. Il revient désormais à Nicole Chevalier, soprano intense, remarquée au festival de Salzbourg 2019, d’incarner l’héroïne de la partition de Gluck pour ses débuts au Palais Garnier. La direction musicale est confiée à Thomas Hengelbrock, particulièrement aguerri à ce répertoire.
Isabelle Stibbe
Au Centre des bords de Marne, l’Arcal [...]
Entre science et fiction, Steven Matthews met [...]
Seul sur scène, Samy Frey lit Un Vivant qui [...]