C’est la fine fleur du cirque que l’on croise dans les espaces publics investis par Solstice. D’abord Jean-Baptiste André, danseur équilibriste virtuose qui aime bouleverser nos habitudes de perception. Ici, c’est une œuvre plastique étonnante qui devient l’agrès de Floe, support immaculé pour des apparitions pour le moins glissantes. La Meute a choisi quant à elle la hauteur et le danger, pour 78 tours haletants dans une roue de la mort hypnotique. Chez Joan Català, seul un rondin de bois suffit à embarquer le public dans Pelat, une construction acrobatique tout aussi drôle qu’impressionnante. Les Colombiens d’El Nucleo, à peine revenus de leur succès Somos, proposent pour Solstice une Carte Blanche inédite. Et à côté de La compagnie Anomalie et de son Crash, des pépites telles Compost de Abby Neuberger et Luca Bernini ou Robert n’a pas de paillettes d’Arthur Sidoroff sont à découvrir…
N.Yokel
Tél. : 01 41 87 20 84.
Un des plus grands pianistes de jazz en activité.
Pour sa première année à la tête du festival [...]
En avant-première, alors que notre hors-série [...]