La programmation, métisse et touche-à-tout, fraye avec l’élégante fusion yiddish de Kabbalah (le 10 à Petit Bain), les troublants occitans Dupain (le 1er au Divan du Monde), l’étrange Mister Lear (le 7 à l’Atelier du Plateau), le dandy lascar tendance manouche Sanseverino (le 21 à la Java), les Chevals et leur jazz à la conque (le 9 au Studio de l’Ermitage)… Avec comme dénominateur peu commun la volonté d’une transparence éthique : la répartition des recettes est expliquée aux spectateurs, un barème équitable mis en place pour la rémunération des artistes. De quoi alimenter un débat citoyen et festif, avec la création musicale au cœur des intérêts.
V. Fara
C’est une véritable force spirituelle qui [...]
Altiste en solo de Bach à Ligeti.
L’art de la métamorphose Le quintette [...]