Dans les quatre partitions réunies par le jeune chef français, le génie orchestral est au service de narrations inventives. Wagner tout d’abord, qui raconte l’amour de Tristan et Isolde avec le seul orchestre (Prélude et Mort d’Isolde) : cette page célèbre sera précédée de l’ouverture de La Défense d’aimer, opéra comique de jeunesse très rarement donné. Suivra Don Quichotte, l’un des poèmes symphoniques les plus audacieux de Richard Strauss, où le violoncelle (en soliste, Antonio Meneses) incarne le héros de Cervantes. Pour finir, une suite orchestrale tirée de Pelléas et Mélisande, due au chef Erich Leinsdorf : affranchie de la déclamation des chanteurs, la musique se concentre dès lors sur l’atmosphère orchestrale unique créée par Debussy.
J.-G. Lebrun
à 19h. Tél. : 01 44 84 44 84.
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