Ces deux œuvres, écrites à trente années de distance, s’inscrivent parmi les œuvres plus lyriques et moins modernistes du compositeur hongrois. Le premier, de 1908, est en deux mouvements, l’un élégiaque, l’autre dramatique et virtuose. Le second date de 1938 et se caractérise par des atmosphères changeantes au gré des variations de ses deux premiers mouvements. Vasily Petrenko le rapproche de la Symphonie n° 1 de Sibelius, un autre compositeur qui rechercha la synthèse d’une écriture moderne et de la tradition musicale nationale. Adam Fischer dresse quant à lui un portrait musical de l’Autriche-Hongrie avec la Symphonie n° 88 de Haydn et la Cinquième de Dvorák.
J.-G. Lebrun
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