« Le panafricanisme s’est élargi, et, ou qu’elle soit, la diaspora doit être fière de ce qu’elle est, elle doit se donner le droit de se tenir debout en toute occasion. » S’il s’adresse à tous les afro-descendants qui peuplent la planète, Chico César demeure natif d’un pays où le racisme demeure une plaie sociétale, marqué par une abolition tardive de l’esclavage et plus largement par une relégation socio-politique. Pour faire avancer le débat et répondre à ce défi, celui qui écrivit Mama Africa choisit la voie du messianisme musical, empruntant aussi bien les chemins du forro nordestin que de la rumba made in Kinshasa, le calypso que le reggae… Et dans ce chemin, il peut compter sur le soutien de nombreux musiciens, dont le Guinéen Sekou Kouyaté à la kora comme le Camerounais Etienne M’Bappé à la basse, sans oublier deux invités spéciaux, le Congolais Ray Lema et le Malien Salif Keita.
J.Denis
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