C’est avec la Cité Radieuse du Ballet National de Marseille que s’ouvre Le Temps d’aimer la danse, comme un signe fort dans une ville qui veut irradier de sa danse tout son territoire. En témoignent également les impromptus chorégraphiques livrés par les danseurs du Ballet Biarritz de Thierry Malandain qui, tout au long de la manifestation, vont égrainer des morceaux de répertoire sur le chemin des festivaliers. Invité de marque, Nacho Duato représente le meilleur de la danse espagnole avec un programme de trois œuvres pour la Compañia Nacional de Danza. Venu du Portugal, Paulo Ribeiro s’attache aux textes de son compatriote Fernando Pessoa, sur la musique de Frank Zappa. Les compagnies de danse basque sont toujours à l’honneur au milieu de cet événement cosmopolite qui réunit également des Brésiliens, Indiens, ou Israéliens. Mention spéciale à Irène Tassembedo, qui porte avec Souffles une histoire difficile mais bouleversante.
Après une première édition l’an passé, le [...]
Si Paco de Lucia est décédé voici dix ans, [...]
Révélé par la puissance de son souffle au [...]