Toute musique chez Schubert peut s’apparenter à un lied. Même lorsqu’il n’accompagne pas la voix, le piano chante toujours, crée ses propres décors et fait de chaque pièce comme un opéra sans parole. C’est d’autant plus vrai dans ces courtes pièces : chants et danses paysans des Ländler, errances romantiques de la Wanderer-Fantasie et mêmes dans ces Klavierstücke, ni mouvements de sonate ni impromptus. Liszt ne s’y était pas trompé, qui transcrivit quelques lieder pour le seul piano, comme on paraphraserait un opéra.
J.-G. Lebrun
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