Nouvelles cordes anciennes, le titre de l’opus qu’il signa avec Toumani Diabaté, donne sans aucun doute le diapason de ses intentions. Arrimé à sa séculaire tradition, Ballaké Sissoko flirte avec les musiques du monde entier, de Ross Daly jusqu’à Guillaume Orti, filtre ces influences au tamis de son expérience. Tel est l’enjeu de son récent « At Peace », enregistré chez l’immense contrebassiste Kent Carter, à Angoulême, sous l’écoute bienveillante du violoncelliste Vincent Ségal, son partenaire invité (comme de coutume) à le rejoindre sur scène.
J.Denis
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