Il y a peu de temps, Trajal Harrell s’associait à François Chaignaud, Cecilia Bengolea et Marlene Montero Freitas pour créer la version médium de Twenty looks or Paris is burning at the Judson Church, performance aléatoire où le rapprochement entre le voguing et la postmodernité n’était qu’un prétexte à tourner autour de la figure fictionnelle de Mimosa. Aujourd’hui, la version large (L) reprend ce postulat de départ, même s’il ne faut le considérer que comme un outil. Le chorégraphe y injecte le fantasme d’une tragédie grecque, cette fois autour d’Antigone. Entre références artistiques, culturelles et politiques, il se balade allègrement, sur le mode de la déconstruction et de la recherche d’une autre réalité.
N. Yokel
Chanson, humour et poésie.
Georges Lavaudant s’attaque à ce monument du [...]
Deux saxophonistes à Pleyel.