Dans le cadre de la très riche programmation intitulée « Escale Algérie, je t’aime », le public va pouvoir apprécier les qualités d’Abdelkader Chaou, un natif de la casbah qui fut biberonné aux sons d’un maître du chaâbi. C’est là, le 5 juillet 1962, jour de l’indépendance, qu’il se produit en première partie de la star d’alors Farid Oujdi. Ce sera le début d’une carrière pour ce virtuose du mandole qui va signer plus d’un classique, incarnant dès lors le renouveau du chaâbi.
J.Denis
Sept ans après son électrique programme [...]
Scientifique animé d’une grande curiosité [...]
La chanteuse québécoise choisit la voie du groove.