À la fin des années 1970, il a choisi de retourner œuvrer au terroir, de reprendre le marteau et la fourche pour usiner d’autres boîtes à musique. Ce sera l’Uzeste Musical, un bazar où il se dépense sans compter pour que le rêve soit encore l’horizon. Trente-cinq ans plus tard, Bernard Lubat, gascon et rabelaisien, persiste et signe ici et maintenant une bande-son qui invite à croire aux lendemains qui dézinguent dans tous les coins et swinguent dans les moindres recoins. Avec lui, c’est toujours la même histoire, jamais à l’identique, comme ce soir où il réunit quelques joyeux amis (de Portal à Shepp, de Sclavis à Minvielle) autour de la chronique photographique de Christian Ducasse. À la clef, pas un cliché, que des hors cadres. Ne sont-ce pas les marges qui tiennent la page !
J. Denis
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